Château Beychevelle

Selon la légende, les navires passant devant le château édifié en 1565 par l’évêque François de Foix-Candale, devaient baisser leurs voiles en signe d'allégeance. D'où le nom de Beychevelle : baisse-voile. Depuis sa reconstruction en 1757 et au fil de ses agrandissements, il y a toujours eu des hommes de pouvoir et des femmes de goût à la tête du Château Beychevelle. Aujourd’hui propriété de Grands Millésimes de France (détenu par les groupes Castel et Suntory) et dirigé par Philippe Blanc, Beychevelle est synonyme d’excellence au cœur de l’appellation Saint-Julien.

Surnommé le Versailles du Bordelais, ce bijou architectural (qui accueille 20 000 visiteurs par an) en fait l’un des châteaux les plus identitaires du Médoc. Ses terres s’étendent sur 250 hectares, dont 90 plantés... Voir +
Selon la légende, les navires passant devant le château édifié en 1565 par l’évêque François de Foix-Candale, devaient baisser leurs voiles en signe d'allégeance. D'où le nom de Beychevelle : baisse-voile. Depuis sa reconstruction en 1757 et au fil de ses agrandissements, il y a toujours eu des hommes de pouvoir et des femmes de goût à la tête du Château Beychevelle. Aujourd’hui propriété de Grands Millésimes de France (détenu par les groupes Castel et Suntory) et dirigé par Philippe Blanc, Beychevelle est synonyme d’excellence au cœur de l’appellation Saint-Julien.

Surnommé le Versailles du Bordelais, ce bijou architectural (qui accueille 20 000 visiteurs par an) en fait l’un des châteaux les plus identitaires du Médoc. Ses terres s’étendent sur 250 hectares, dont 90 plantés en vignes : cabernet sauvignon, merlot, cabernet franc et petit verdot. Le reste se compose de prairies réservées aux vaches limousines, de forêts de pins, de peupliers, de frênes et de noyers. La proximité de la Gironde, qu’on aperçoit depuis le perron du château, permet protection et régulation thermique. Très attaché à la préservation du terroir, le Château Beychevelle a opté pour une culture raisonnée avec vendanges manuelles, une partie du vignoble étant même dédié à l’agriculture biologique.

Inauguré en 2017, le nouveau chai dessiné par l’architecte Arnaud Boulain est largement inspiré de l’histoire et des légendes qui entourent le château, avec un univers marin très présent. Le cuvier-parcellaire permet à chaque terroir d’exprimer toute sa complexité, autorise des changements gravitaire plus doux, permet de gagner encore en maîtrise des températures et les extractions peuvent se faire à la carte. Un savoir faire traditionnel associé à un travail d’une précision chirurgicale qui permet de produire des crus de grande qualité, très réguliers, élégamment  puissants.

Son dauphin, l’Amiral de Beychevelle est reconnu comme l’un des meilleurs seconds vins de crus classés bordelais et les Brulières de Beychevelle, en appellation Haut-Médoc, est passé en viticulture organique depuis 2008.
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