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Juillet Gin
Juillet Gin 44
Gin & Genievre / Gin / France / bouteille 50cl / 44 °- Frais
- Complexe
- Rond
La Maison Ferroni propose une gamme de spiritueux vintages
Fondée en 2010 par Guillaume Ferroni en plein coeur de la Provence
Conférencier et consultant auprès de grandes entreprises
Recette inspirée d’ouvrages de spiritueux anciens
Silver Medal : The International Craft Spirits Excellence Awards 2018
Fondée en 2010 par Guillaume Ferroni en plein coeur de la Provence
Conférencier et consultant auprès de grandes entreprises
Recette inspirée d’ouvrages de spiritueux anciens
Silver Medal : The International Craft Spirits Excellence Awards 2018
L'avis du sommelier
Distillé dans un petit alambic accueillant les fruits et les aromates, un gin complexe et exubérant
-
Marque
Juillet Gin
-
Degré
44 °
-
Température de service
Pur Ou Sur Glace
- Fermeture
- Bouchon
- Contenance
- Bouteille 50cl
- Super famille
- Spiritueux
- Famille
- Gin & Genievre
- Sous Famille
- Gin
- Pays de fabrication
- France
- Volume total
- 0.5 L
- Code Pays
- Fr
003116685
Dégustation
Très parfumé, complexe, enivrant, Juillet Gin libère des effluves de pin, citronnier, abricots, fruits d’été, fleurs, bonbon des Vosges. La bouche est ronde, fraîche, portée vers une finale délicate aux nuances anisées.L'info en +
Le Gin Juillet est distillé dans un petit alambic fabriqué au tout début du XIXe. Avant distillation, les aromates et les fruits (pêches, abricots) macèrent directement dans l’alambic. La recette s’inspire de la collection d'ouvrages anciens de Guillaume Ferroni. Passionné par le monde du bar et des spiritueux, le fondateur de la Maison Ferroni est conférencier et consultant spiritueux auprès d’entreprises comme Pernod Ricard, Lillet, Chartreuse, etc.Élaboré à base d’alcool de blé biologique.
Fondée en 2010 par Guillaume Ferroni à Aubagne, en plein coeur de la Provence, la Maison Ferroni propose une gamme de spiritueux anciens et innovants. Les Rhums signatures de la Maison Ferroni s’inspirent du style de rhum que l’on trouvait à Marseille au XIXe siècle, alors que la cité phocéenne comptait plus d’une centaine de marques de rhums dans son enceinte. L’élevage en fût de chêne était la norme et ces contenants servaient également à l’export vers les Amériques.
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